15 mai 2011
pianotage
En longeant le chagrin et en débattant de mes larmes, ici et là sous les regards bienveillants, je retrouve le goût des mots détournés, un peu tordus, des phrases toutes faites que l'on délace juste pour le bonheur des raccourcis insensés.
Il faudrait profiter d'une embellie et promettre de ne plus pleurer si souvent... plus fou encore, de sécher ses larmes et de moucher son nez, la bonne fois pour toutes. Ben oui, je me vante. Et puis après ?
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