Et patati et patata
Avec Un blog, c’est comme avec un mec. Au début, tu t’épiles… 8 mois plus tard, tu ne regardes même plus tes statistiques 10 fois par jour. Bon, je suis pessimiste sur les délais de péremption de la flamme, n’empêche QUE : je consulte mes chiffres d’un œil distrait depuis lurette. Faut dire aussi qu’ils n’ont pas la grimpette. Et oui, pour être lu un minimum, il faut écrire un minimum. Jusque là, je suis. But. Avec deux séances de presque divan par semaine, la confidence m'impatiente. Voilà. Et bon sang de bois, je ne suis pas d’humeur badine. La preuve: demain matin, j'ai piscine à 7h15. Du matin. Oui. T'as vu le niveau de mes agacements ?
Retour au thème. Prenez un texto. Le jour ou tu reçois le premier, t’as pris perpèt : condamnée à scruter ton biniou et à de te tordre le cœur pendant les interludes. Là pas de petit train comme sur la 1ère chaine de notre enfance à l'ORTF. Le plus difficile dans le SMS est d’avoir le dernier mot. D’autant qu’il y a des messages sans réponse qui s’incrustent pendant des semaines. Le seul moyen de les déloger est de renvoyer une balle en rab au destinataire taiseux en croisant les doigts pour qu’il réagisse ; S’il réagit, il faut rester coi et ne prendre aucun risque quitte à faire l’impasse sur une réponse indispensable. Tu penses au pain ?
Et ben…. Toutes ces journées de silence, pour pondre ça. Si c’est pas malheureux.